samedi 28 novembre 2015


La Soucoupe, à Saint-Nazaire (cliquez pour agrandir)

Inaugurée en février 1970 après 7 ans de travaux, la soucoupe, bâtiment imposant de 90 000 tonnes, est une salle de spectacle et de sports, d'un diamètre à la base de 48m et de 83m au sommet, pour une hauteur de 21m.

Elle disposait à l'origine de 2 200 places assises, pour les matchs de boxe ou les compétitions sportives, et pouvait augmenter sa jauge jusqu'à 3 500 places pour des concerts (Pierre Perret, Chantal Goya notamment, à la fin des années 70).

Sous les gradins, se trouve également un immense gymnase, accessible par l'arrière du bâtiment.

Idéalement placée à proximité du centre-ville, la municipalité souhaite demander son classement au titre des monuments historiques.

Cette magnifique salle, une fois rénovée et adaptée aux contraintes techniques actuelles, permettrait enfin de voir des tournées d'artistes s'arrêter à St-Nazaire. L'absence de grande salle, contraint les tourneurs à zapper notre ville pour le Zénith de Nantes!

Mélo Men's, père disquaire, fils DJ


Mélo Men's, DJ et animateur à Saint-Nazaire

Mélo Men's était un disquaire installé avenue Albert De Mun en milieu des années 70.
Robert Amados avait créé cette boutique jaune puis verte, et était à l'époque, l'un des disquaires indépendants du centre ville, avec Gilradio, avenue de la république.

Pour l'inauguration de sa boutique, Robert Amados frappe un grand coup et invite son ami... Manu DIBANGO !

Son fils, "DJ Rico" a repris il y a quelques années le nom et le logo de la boutique, et créé "Mélo Men's animation".

Gymnase Henri Fogel, Saint-Nazaire

Situé sur le parc des sports, face à la cité scolaire, le gymnase Henri Fogel s'étend sur 3 800m2 et peut accueillir jusqu'à 500 spectateurs. 

Egalement utilisé par le collège Anita Conti situé juste à côté, il est équipé d'une couverture végétalisée.

D'un coût global de 7 millions d'euro, il a été financé à hauteur de 5,5 millions par la ville, notamment grâce à un lèg de 1,1 million, de Henri Fogel, nazairien d'adoption devenu commerçant.

Il avait fait don de sa fortune à la condition que l'argent serve à la construction d'un gymnase. Une place du quartier de La Tréballe, où il tenait un débit de tabac, porte également son nom.

Le radôme, Saint-Nazaire

Cette structure offerte à la ville en 2007, a servie de radar pour l'OTAN sur l'aéroport de Berlin entre 1984 et 2003.

Ses 298 triangles en aluminium sont recouverts d'une membrane translucide.

Le radôme, d'un diamètre de 16,5 m pour une hauteur de 8m, peut accueillir jusqu'à 99 personnes. Il a été installé sur le toit de la base sous-marine.

Clinique du jardin des plantes

La clinique du jardin des plantes à St-Nazaire, située rue Jean Macé à côté de l'ancien square Athanase Laborde, devenue maternité, a fermé ses portes le 12 septembre 2012.

Aujourd'hui détruite, elle devait laisser place à un programme immobilier de 47 logements, mis en stand-by depuis...



Collège Anita Conti, Saint-Nazaire

Né de la fusion des collèges de Trélan "Manon Roland" et "Jean De Neyman" à la cité scolaire du "grand marais", ce nouveau collège a ouvert en septembre 2013, dans la plaine des sports, boulevard Pierre De Coubertin.

D'un coût global de 15,28 millions d'euro, avec une capacité de 600 places, il porte le nom de la première femme océanographe, également photographe, française.


vendredi 30 octobre 2015



Le terminal frigorifique dans le port de Saint-Nazaire

Construit pendant la première guerre mondiale par les américains, sur des plans identiques à celui de Chicago, le terminal frigorifique de 9 000 m2 est situé à proximité du "quai du commerce" d'une longueur de 168m.

Deux grues permettaient jusqu'au début des années 2010, de décharger les navires.

Appartenant au groupe de logistique STEF, le terminal frigorifique a été détruit début 2017.

Les armoiries de la ville de Saint-Nazaire.

Elles apparaissent peu avant février 1867
On y voit une nef voguant sur la mer, la "clef de la Loire", nom donné à la ville autrefois, qui protégeait l'estuaire.

La devise "apérit et nemo claudit""elle ouvre et personne ne referme".

En haut se trouvent sur les armoiries originales, l'hermine, la ville étant une cité du duché de Bretagne (remplacées sur ce modèle "plaque de rue", des années 1990).

"Suite de triangles" de Félice VARINI à Saint-Nazaire.

Dans le cadre d"Estuaire 2007 (biennale d'art contemporain), l'artiste franco-suisse Félice Varini a peint ces triangles géants sur le port de St-Nazaire.

Les triangles sont peints partiellement sur de nombreux bâtiments et hangars du port, et ne permettent une vue complète (photo) que depuis un unique point situé sur le toit de la terrasse panoramique.

vendredi 9 octobre 2015


Le mémorial américain à Saint-Nazaire, représente un soldat debout sur un aigle.

Inauguré le 26 juin 1926, il a été créé en mémoire du débarquement américain à Saint-Nazaire, lors de la première guerre mondiale, en juin 1917.

250 000 soldats américains arrivèrent à St-Nazaire, avec 3 millions de tonnes de matériels!

Dynamité par les allemands le 13 décembre 1941, il ne restait plus que la base au milieu des rochers. Le monument fût reconstruit pratiquement à l'identique et inauguré le 24 juin 1989.

La sculpture "L'épave" d'Antoine Bourlange, représente un couple qui pleure un naufragé de la mer.

Acquise en 1895 ou 1903, elle fût installée au jardin des plantes de Saint-Nazaire, puis déplacée boulevard Albert 1er en 1937, avant de trouver refuge en 1971 sur le square du "19 mars 1962" face à la mer.

Retirée au début des années 2000 après la décapitation de l'homme par des vandales en 2001, elle croupit au parc des expositions, avec la sculpture autrefois située devant la maison du peuple et la sculpture de l'ancienne gare.

Ce magnifique monument mériterait d'être restauré, d'autant qu'il n'appartient pas à la ville qui en a juste l'usufruit, mais à l'Etat. Il est par ailleurs répertorié dans l'inventaire du fond national d'art contemporain.

Le "parc des expositions de Saint-Nazaire". Ces bâtiments en bois sont les vestiges de la scierie Hailaust & Gutzeit. 

Créée en 1891, la scierie importait du bois qui arrivait par bâteaux, et occupait 32 000 m2 entre la Loire et les 2 bassins du port.
Expulsée en 1928, pour créer la forme Joubert en 1934, elle se réinstalle sur une surface deux fois plus petite.

Une grande partie des locaux sont réquisitionnés en novembre 1939 par l'armée anglaise, et les installations sont détruites par les bombardements de février 1943.

La scierie est reconstruite au "petit Maroc" en 1946 sur 15 000m2.
La société dépose le bilan en 1983. Les hangars sont alors partiellement détruits pour laisser place à l'écomusée.

Subsistent alors deux parties distinctes: au Sud, derrière la salle Jacques Brel actuelle, et face à l'entrée Est.

La partie Sud est partiellement démontée en 2007, et déplacée face à la mer. Les 1 300 m2 réinstallés et restaurés forment aujourd'hui "la halle sud".

Les hangars situés de l'autre côté deviennent à la fin des années 80, la salle Jacques Brel... avant de perdre leur nom pour "parc des expositions".

Quelques expos ont lieu à l'intérieur de ces hangars en bois, majestueux, avant que la ville ne les loue à un vendeur-réparateur de bâteaux jusqu'à la fin des années 90.
La ville récupère le bâtiment et l'utilise depuis pour stocker du matériel (Les escales, châlets de noël...)

Aujourd'hui squatté par les pigeons, le bâtiment est en passe d'être réhabilité. Un projet devrait être présenté prochainement. En espérant qu'il ne soit pas détruit, car il fait partie du patrimoine de la ville, et peu de bâtiments de ce genre subsistent aujourd'hui.



L'école publique Alphonse De Lamartine, boulevard de la libération à Saint-Nazaire.

Après la guerre, la quasi totalité des écoles de la ville sont détruites. Seules les écoles de Méan et de Penhoët subsistent.

Dès 1950, la première tranche de l'école Jules ferry, construite avant guerre, est réouverte. Puis Jean Jaurès en 1951, Léon Gambetta en 1955. La dernière école de la reconstruction sera Léon Blum en 1961.

L'école Lamartine pour sa part, ouvre en 1958. Elle est composée de 3 bâtiments: l'école maternelle, puis l'école des filles au centre et l'école des garçons. Une dénomination fixée avant la mixité, et conservée jusqu'aux années 2000.

Chaque école élémentaire est composée de 10 salles de classes, au plus fort de sa fréquentation, l'école Lamartine comptera plus de 400 élèves (hors maternelle). 
Aujourd'hui il ne reste que 219 enfants scolarisés en primaire et 129 en maternelle.

dimanche 27 septembre 2015


Le boulevard René Coty à Saint-Nazaire en 1990.

Vu depuis le "building". En premier plan, le "comptoir du pêcheur", magasin spécialisé dans la pêche professionnelle et de loisirs.

Aujourd'hui toujours au même endroit, mais au rez-de chaussée d'un immeuble neuf, le "Monte Cristo", construit au début des années 2000.

L'ensemble du quartier ou se trouvait le garage Opel et la "droguerie Laurent" (détruite accidentellement par un spectaculaire incendie dans les années 80 avant de rouvrir au même endroit), a été rasé et refait à neuf à l'exception de l'ancien immeuble en second plan à droite, rare vestige du vieux St-Nazaire d'avant guerre.

La grande fêtes des écoles dans les années 80 à Saint-Nazaire.

Ici au parc paysager. Elle avait lieu auparavant au stade Léo Lagrange dans les années 70, et rassemblait des milliers d'enfants des écoles primaires publiques de Saint-Nazaire.

En juin, chaque école proposait sa fête. Le dernier dimanche, l'ensemble des écoles se retrouvaient et pour un spectacle commun, à l'initiative de la SBEL, la société de bienfaisance des écoles laïques, créée en 1925 et devenue en 2001 le GEPAL.
Ville-Port avant l'arrivée de Cinéville et l'aménagement du boulevard, en 1999.

On peut voir l'escalier installé en 1994 pour permettre aux nazairiens de monter sur le toit de la base sous-marine.

En premier plan se trouve aujourd'hui le parking, les hangars à droite ont laissé place à l'hôtel Holiday Inn.

jeudi 24 septembre 2015



Le pont levant de l'entrée sur du port de Saint-Nazaire.

De type SCHERZER, il fût installé par les allemands en 1941, en remplacement du pont tournant.

Régulièrement percuté par des navires, il est toujours remis en état et remplit sa fonction depuis plus de 75 ans!

Son fonctionnement impressionnant lorsqu'il se lève, attire toujours bon nombre de vacanciers.


Un bus de la STRAN, RENAULT SC10-R. 

En plein développement, le réseau de bus de la ville de Saint-Nazaire, achète 13 véhicules de ce type en 1985.
Blancs à l'origine, avec une bande bleue et une bande verte, ils seront repeints en jaune par la suite et circuleront jusqu'à la fin des années 90.

Ce bus est le descendant du mythique SAVIEM SC10 sorti en 1965.

Restylé (le "R" de son nom), il sera produit dans sa version SC10-R à plus de 3000 exemplaires entre 1982 et 1989.

Dans les années 80, le SC10 / SC10-R, représente 52,3% du parc national de bus diesel, et 89% de la flotte de la RATP!
En 24 ans, il sera fabriqué à 11 004 exemplaires.

Le bus 304 de la STRAN a été conservé par un collectionneur nantais qui l'a donné en 2016 à l'association "Rétrobus nazairiens".  Un autre véhicule, plus récent, a également été conservé "dans son jus" par l'association.


"Le voyage de la sirène" est une statue de 8m de hauteur, installée place de l'Amérique Latine à Saint-Nazaire, le 9 juin 2001.

Elle est l'oeuvre de l'artiste Federica MATTA, peintre, plasticienne et sculpteur, née en 1955 à Neuilly.

Souvent décriée, elle apporte pourtant un peu d'originalité et de couleur dans un quartier plutôt minéral.

mercredi 23 septembre 2015

La station ELF de la gare, à l'entrée de la ville avant sa fermeture en 2012 et son transfert au rond-point de Reton sous l'enseigne TOTAL.

A la reconstruction, une station ESSO est installée à l'extrémité de l'avenue de la république, face à la nouvelle gare SNCF qui ouvrira en 1955.

En 1959, un immense garage-parking de 250 places appelé "olympic" est installé au même endroit, ainsi qu'un restaurant.
La station est alors ouverte 24h sur 24. Le complexe fermera en 1978 et ne subsistera que la station ESSO et son atelier.

Dans les années 70-80, elle reste toujours ouverte toute la nuit, mais l'arrivée des stations dans les hypermarchés, et l'automatisation des pompes, conduisent la station à fermer la nuit à la fin des années 80.

Dans les années 90, elle changera d'enseigne pour devenir ELF.

Il y a une trentaine d'années la ville comptait 8 stations: ESSO à la gare, FINA avenue De Gaulle, BP et SHELL boulevard de la fraternité, ELF boulevard de l'hôpital, MOBIL et SHELL rue de Pornichet, et ANTAR route de la côte d'amour.

Il y avait également des pompes dans la plupart des garages du centre-ville ainsi qu'au centre commercial de Kerlédé (supermarché RADAR devenu COMOD).

Il ne reste aujourd'hui que les 2 stations de la rue de Pornichet, devenues TOTAL et AVIA, ainsi que TOTAL au rond-point de Reton et les stations de Géant, Leclerc et Super U.
On peut y ajouter un garage à l'Immaculée puis ensuite les 3 stations de Trignac (Auchan, Total et Avia).
La grande roue installée place de l'Amérique Latine à St-Nazaire au printemps 2013, 2014, 2015 et 2016.

Il s'agit d'un manège hollandais de 1999, équipé de 30 nacelles et d'une hauteur de 45m.

Un busway IRISBUS CREALIS 18

Exposé à St-Nazaire avec le Mercedes CITARO lors du choix du type de véhicule destiné à équiper la ligne HélYce...

Si le "cul de bus" était classique, il avait l'avantage d'offrir un avant plus futuriste que le Mercedes, et plus de place à l'intérieur avec un couloir plus large.
Le dolmen  "des trois pierres" ou "dolmen du prieuré".

Situé à proximité du square Delzieux, entre la rue du dolmen et la rue des vénettes en plein centre de Saint-Nazaire.

Il s'agit d'un trilithe, érigé au Néolithique. La Loire passant à proximité il y a encore moins de 2 siècles, avant le développement de la ville, initialement construite sur "le rocher" dans l'actuel quartier dit du "petit Maroc".

Classé au titre des monuments historiques depuis 1889, le menhir qui l'accompagne était autrefois couché. Il aurait été redressé vers 1920 lors de l'aménagement du square.
Les 4 tours de "la chesnaie" dans les quartiers ouest.

Construites en 1974, ces 4 tours de 16 étages situées rue des troënes, marquaient la fin de la ville.

Aujourd'hui détruites, la rocade située derrière est devenue un boulevard urbain et les champs du "pré Hembert" accueillent le nouvel hôpital et un stade de rugby.

Le supermarché CARREFOUR CONTACT du "Bon passage" (passage Lebon).

Il s'appelait SUMA dans les années 70 ce petit supermarché franchisé de centre-ville à St-Nazaire (44), installé dans un ancien garage rue Jean Jaurès à côté du cinéma "France".

En 1981 l'enseigne devient STOC, le magasin tourne plutôt bien malgré la concurrence de COOP et NOUVELLES GALERIES pas très loin.

Dix ans plus tard, en 1991, à la faveur du réaménagement du centre-ville STOC part s'installer un peu plus haut, à proximité de l'avenue principale dans "le bon passage".
Le succès est au rendez-vous. Le magasin profite de la fermeture des 2 autres enseignes et passe rapidement à près de 1800 m2.

Il devient CHAMPION en 1999 lors du rachat du groupe PROMODES (hypermarchés CONTINENT) par CARREFOUR.
Début des années 2000, un HYPER CHAMPION de 3 000 m2 ouvre à 800m dans le quartier du port, alors en restructuration.

Le 14 octobre 2009, alors que l'hyper est passé CARREFOUR MARKET en juin, ce qu'aurait aussi dû faire le supermarché du centre-ville, on lui impose de passer sous l'enseigne CARREFOUR CONTACT pour "protéger" le CARREFOUR MARKET, appartenant directement au groupe.

La sanction est immédiate: fermeture d'un tiers de la surface, ramenée à 1200 m2, et surtout une hausse des prix qui va rapidement et inexorablement faire fuir les clients vers... CARREFOUR MARKET notamment!

En 2012, le MARCHE PLUS situé à 200m boulevard Gambetta, devient CARREFOUR CITY... et baisse ses prix!
En juillet 2012, nouvelle réduction de surface, à 800 m2. Les rayons sont ressérés, le choix restreint, les prix augmentés...

C'est le début de la fin pour le supermarché du centre-ville également confronté à d'incessants trafics dans "le bon passage".

CARREFOUR CONTACT fermera définitivement fin 2015... tout comme le passage commercial aujourd'hui muré!

Le propriétaire (indépendant) a rouvert en 2016 à proximité de son lieu d'origine, dans l'extrémité du Centre République, sous l'enseigne CARREFOUR CITY.

Un bus articulé CITELIS 18 d'IVECO.

En service jusqu'au 2 septembre 2012 lors de la refonte du réseau urbain.
Il succède au modèle Agora Line.

Les 2 bus du parc nazairien ont été vendus à Cherbourg.

Place Nadia Boulanger à La Bouletterie (quartiers ouest) à St-Nazaire.

Ce nouveau quartier a été construit entre 2011 et 2015, à la place des 2 tours de 16 étages "Grenapin".

Les commerces du centre commercial situé en face, ont pris place dans ces immeubles (La Poste, boulanger, coiffeur, pharmacie et Carrefour Express).


Inauguration de la ligne de Busway (BHNS) HELYCE, le 2 septembre 2012.

A l'occasion, tout le réseau STRAN, urbain et Tybus est restructuré.

14 véhicules Mercedes CITARO de 18m (17 aujourd'hui) sont mis en service sur la ligne HélYce.

lundi 20 juillet 2015


La plage de Ville-ès-Martin dite "Villès Martin".

Autrefois toute la partie située sur la gauche de la photo était constituée d'un bois et d'un ruisseau.


Le vieux St-Nazaire vers 1880.

Au premier plan, la vieille église aux pieds du "vieux môle" (à gauche). Au centre de la photo, les halles. 



Le Théâtre de Saint-Nazaire en 2012. 

Il est l'un des derniers éléments de la restructuration du quartier "ville-port" entamée en 1994 avec l'installation d'un escalier provisoire permettant de monter sur la base sous-marine.

Le quartier a été complètement transformé depuis 15 ans avec l'arrivée de Cinéville, de Champion (devenu Market), du "ruban bleu", d'Agora, de la création de la place de l'Amérique Latine, ainsi que de nombreux immeubles en lieu de place d'entrepots, de squares et de la place Marceau.

Le déplacement de la salle Jacques Brel dans la base ainsi que la création d'un port de plaisance à la place du "frigo", marqueront la fin de l'aménagement du quartier, commencé en 1994. 



L'hôtel de ville, construit dans les années 60.

L'imposant bâtiment termine la perspective de l'avenue de la république et domine le centre-ville de la reconstruction. Effet pervers, il coupe la liaison avec la mer et retourne la ville loin de ses origines maritimes.

La salle du conseil municipal (au 1er étage au centre du bâtiment), accueille chaque mois, les 49 élus municipaux.

En 2016, la restructuration de l'avenue Léon Blum (sur la gauche), permet de rejoindre le front de mer avec plus de fluidité.


L'espace mobilité de la Stran, dans les tours de la gare.

A la création du réseau de bus urbains en mai 1979, une petite boutique en préfabriqué prend place dans la partie élargie de l'avenue de la république.

En 1984, elle déménage au 18 avenue de la république sous le nom de "boutique Stran".

Le réseau est à l'époque une SAEM (société anonyme d'économie mixte), sous tutelle de la ville. Au début des années 2010, la Stran dépend de La Carène, actionnaire, aux côtés des 10 communes qui la composent.

La boutique déménage dans le quartier gare et prend le nom d' "espace mobilité". Depuis juin 2015, la Stran est également exploitant du stationnement payant sur la ville et de la location de vélos (2017).


La rue de la vieille église dans le vieux Saint-Nazaire au début du XXème siècle.




L'hypermarché GEANT à Océanis.

Ouvert en octobre 1973 sous l'enseigne "ROND-POINT", il s'agit du premier hypermarché de la région (hormis Nantes), l'un des 200 premiers en France (il en existe plus de 1 500 aujourd'hui).

Prévu 2 ans auparavant entre St-Nazaire et Pornichet, l'hypermarché Rond-Point s'implantera finalement à La Vecquerie. La carcasse du projet avorté défigurera le paysage pendant près de 30 ans!

A l'époque en sortie de ville (les quartiers de la Chesnaie et de la Bouletterie commencent à sortir de terre), il a pour particularité de proposer à l'étage... une bibliothèque municipale!

Au milieu des années 80, Rond-Point devient RALLYE. L'hyper a alors une surface de 7 480 m2.

L'enseigne disparait au profit de GEANT en mai 1995. La galerie marchande est restructurée, puis en novembre 2002, un agrandissement porte à 8 740 m2 la surface de l'hyper. 

La galerie marchande bénéficie à nouveau d'un réaménagement en 2016 ainsi que l'extérieur du centre commercial. La FNAC s'implante à la place de l'ancienne cafétéria Casino.


Le vieux St-Nazaire et le bassin entre les deux guerres.


La librairie "sac à papier". 

 Elle fait partie du paysage commercial de Saint-Nazaire tout comme "Multilud", "la maison du fromage (chez Harel)" ou bien encore "arts et lettres"...

Il s'agit d'une librairie spécialisée dans la BD, située au coin de la rue de la paix et de la rue du Maine.

"Sac à papier" a fermé ses portes à la fin de l'année 2015. Il en est de même de la papeterie "Arts et lettres.

L'avenue de la république en 1985, dans sa partie élargie avec la gare centrale des bus.

Au fond en rouge et bleu, la boutique "La Hutte" devenue par la suite Intersport.