lundi 20 juillet 2015


La plage de Ville-ès-Martin dite "Villès Martin".

Autrefois toute la partie située sur la gauche de la photo était constituée d'un bois et d'un ruisseau.


Le vieux St-Nazaire vers 1880.

Au premier plan, la vieille église aux pieds du "vieux môle" (à gauche). Au centre de la photo, les halles. 



Le Théâtre de Saint-Nazaire en 2012. 

Il est l'un des derniers éléments de la restructuration du quartier "ville-port" entamée en 1994 avec l'installation d'un escalier provisoire permettant de monter sur la base sous-marine.

Le quartier a été complètement transformé depuis 15 ans avec l'arrivée de Cinéville, de Champion (devenu Market), du "ruban bleu", d'Agora, de la création de la place de l'Amérique Latine, ainsi que de nombreux immeubles en lieu de place d'entrepots, de squares et de la place Marceau.

Le déplacement de la salle Jacques Brel dans la base ainsi que la création d'un port de plaisance à la place du "frigo", marqueront la fin de l'aménagement du quartier, commencé en 1994. 



L'hôtel de ville, construit dans les années 60.

L'imposant bâtiment termine la perspective de l'avenue de la république et domine le centre-ville de la reconstruction. Effet pervers, il coupe la liaison avec la mer et retourne la ville loin de ses origines maritimes.

La salle du conseil municipal (au 1er étage au centre du bâtiment), accueille chaque mois, les 49 élus municipaux.

En 2016, la restructuration de l'avenue Léon Blum (sur la gauche), permet de rejoindre le front de mer avec plus de fluidité.


L'espace mobilité de la Stran, dans les tours de la gare.

A la création du réseau de bus urbains en mai 1979, une petite boutique en préfabriqué prend place dans la partie élargie de l'avenue de la république.

En 1984, elle déménage au 18 avenue de la république sous le nom de "boutique Stran".

Le réseau est à l'époque une SAEM (société anonyme d'économie mixte), sous tutelle de la ville. Au début des années 2010, la Stran dépend de La Carène, actionnaire, aux côtés des 10 communes qui la composent.

La boutique déménage dans le quartier gare et prend le nom d' "espace mobilité". Depuis juin 2015, la Stran est également exploitant du stationnement payant sur la ville et de la location de vélos (2017).


La rue de la vieille église dans le vieux Saint-Nazaire au début du XXème siècle.




L'hypermarché GEANT à Océanis.

Ouvert en octobre 1973 sous l'enseigne "ROND-POINT", il s'agit du premier hypermarché de la région (hormis Nantes), l'un des 200 premiers en France (il en existe plus de 1 500 aujourd'hui).

Prévu 2 ans auparavant entre St-Nazaire et Pornichet, l'hypermarché Rond-Point s'implantera finalement à La Vecquerie. La carcasse du projet avorté défigurera le paysage pendant près de 30 ans!

A l'époque en sortie de ville (les quartiers de la Chesnaie et de la Bouletterie commencent à sortir de terre), il a pour particularité de proposer à l'étage... une bibliothèque municipale!

Au milieu des années 80, Rond-Point devient RALLYE. L'hyper a alors une surface de 7 480 m2.

L'enseigne disparait au profit de GEANT en mai 1995. La galerie marchande est restructurée, puis en novembre 2002, un agrandissement porte à 8 740 m2 la surface de l'hyper. 

La galerie marchande bénéficie à nouveau d'un réaménagement en 2016 ainsi que l'extérieur du centre commercial. La FNAC s'implante à la place de l'ancienne cafétéria Casino.


Le vieux St-Nazaire et le bassin entre les deux guerres.


La librairie "sac à papier". 

 Elle fait partie du paysage commercial de Saint-Nazaire tout comme "Multilud", "la maison du fromage (chez Harel)" ou bien encore "arts et lettres"...

Il s'agit d'une librairie spécialisée dans la BD, située au coin de la rue de la paix et de la rue du Maine.

"Sac à papier" a fermé ses portes à la fin de l'année 2015. Il en est de même de la papeterie "Arts et lettres.

L'avenue de la république en 1985, dans sa partie élargie avec la gare centrale des bus.

Au fond en rouge et bleu, la boutique "La Hutte" devenue par la suite Intersport.


Le comblement de l'anse de Sautron, permet de créer le front de mer tel qu'on le connait.  

Il s'arrêtait à l'époque au niveau du jardin des plantes.

Au fond à gauche, la plage de Ville-ès-Martin.

Des vestiges du mur que l'on voit sur la photo, sont visibles sur les abords du square de Sautron.



Le skate-park, inauguré en septembre 2013 sur le square du 19 mars 1962, face à la mer.

Le succès est au rendez-vous et des centaines de jeunes y viennent chaque jour. 

Un bar et des wc publics y ont depuis été installés.


Rue de la paix en 1993. Troisième version d'une rue qui se cherche.

La circulation est rétablie dans un sens depuis l'avenue de la république. Les bacs à fleurs supprimés et remplacés par des arbres.

En 2014, une quatrième version de cette fameuse "rue de la paix" est réalisée.


En 1985, la rue de la paix devient piétonne et est rebaptisée "rue de la paix et des arts".

Le projet prévoyait des reproductions d'oeuvres célèbres et des arcades ombragées pour permettre la création de terrasses de bars, d'expos, etc...

Malheureusement le mobilier urbain utilité à l'époque est lourd, peu esthétique et cache la perspective.

Les "cubes" sont dégradés, les écrans (premier plan) illisibles et toujours en panne...

Quelques années plus tard la rue perd ses cubes et ses arcades. Des bacs à fleurs les remplacent, ce sera la version 2 de la rue de la paix avant une troisième rendant la circulation dans un sens.

Aujourd'hui, une 4ème version de la rue de la paix est en place depuis 2014.



Avenue de la république à l'automne 1987.

Les platanes de la partie élargie de l'avenue sont abattus pour laisser place aux travaux de construction du "centre république" qui ouvrira le 20 octobre 1988.

Vue depuis ce qui est aujourd'hui "l'esplanade des droits de l'homme Nelson Mandela" en direction de la gare.


Illustration de l'entrée sud avant guerre avec un grand voilier et de nombreux navires animant l'espace.

Sur la droite se trouve aujourd'hui le "building".


La brasserie République.

Située à l'extrémité du "Centre République", ici en 1990. 

A l'époque, le centre-ville comptait de nombreux bars: Le Magellan, Le Balto, l'Hexagone, Le Central, Le République, Le Windsor, Le Soft, Le Normandy, Le Kiosq, Le Guérandais, Café de La Baule...



L'entrée nord de la ville avant la construction des "twin towers" de la gare.

Photo prise en juillet 1993, avec la station ELF. 

Cette station a été créée sous l'enseigne ESSO avec un garage, un restaurant, dès la reconstruction de l'avenue de la république. 

Elle avait la particularité, avant l'arrivée des hypermarchés, de rester ouverte toute la nuit!


L'avenue de la république vue de l'hôtel de ville, en mars 1985.

Dans la perspective on peut voir l'avenue telle qu'elle était avant 1988: 3 voies de circulation, grands trottoirs et absence du "centre république".


La maison des associations "Agora 1901".

Située sur l'ancien square Delzieux dans le bas de l'avenue Albert De Mun.

Elle est composée de  7 salles de 19 à 95 places ainsi que d'une grande salle polyvalente d'environ 200 places, d'un service aux associations, de permanences, etc...

Agora 1901 remplace depuis 2006, l'ancienne maison du peuple, située place Salvador Allende, où se trouve aujourd'hui l'espace commercial "Ruban bleu"

Depuis fin 2016, la salle polyvalente a été transformée en cinéma d'art et essai en remplacement de la salle du FANAL, aujourd'hui détruite (rue Victor Hugo).
Les sièges sont ceux du cinéma FRANCE, restaurés.



La place Carnot et la rue de Ville-ès-Martin.

Aujourd'hui, rebaptisée "place des quatre horloges" telle qu'elle était surnommée avant guerre, et souvent mal orthographiée "quat'z'horloges" ce qui n'a aucun sens à part provoquer l'hilarité des touristes nous prenant pour des ploucs!


Le "Centre République" en construction au printemps 1988.

Inauguré le 20 octobre 1988, ce nouveau "coeur de ville" prend place dans la partie élargie de l'avenue de la république.

Le projet est signé de l'architecte italien Claude Vasconi.

Souvent surnommé "le paquebot", le véritable nom de cet espace commercial d'environ 40 commerces est bien le "centre république"

Son nom est d'ailleurs inscrit sur l'un des piliers de la place centrale.


vendredi 17 juillet 2015

 
"GLUP'S", une enseigne bien connue de nombreux nazairiens. 

Qui n'a pas acheté des bonbons un samedi après-midi ou à la sortie du lycée?

La boutique comptait des dizaines de références de bonbons.

Installée dès l'ouverture du "centre république" le 20 octobre 1988, elle a baissé le rideau fin 2014.



La criée de Saint-Nazaire. 

Autrefois animé, le port de pêche ne compte plus que quelques navires aujourd'hui.
La criée au poisson a été détruite au milieu des années 2000.

Désormais l'arrivée du poisson se fait à La Turballe depuis une vingtaine d'années.

samedi 4 juillet 2015






Non vous ne rêvez pas, il s'agit bien d'un canard géant, de 22m de haut!

L'oeuvre de Florentijn Hofman devait faire sensation lors de la biennale d'art contemporain "Estuaire 2007".

Malheureusement, le canard n'aura tenu que 2 jours, et peu sont ceux qui ont eu la chance de le voir en "vrai".

Depuis, des copies ont été présentées un peu partout dans le monde, mais "Kinkink" restera Kinkink !



Le nouvel hôpital de Saint-Nazaire.  

Situé en périphérie de la ville, dans les quartiers ouest, à la place de la ferme du "pré Hembert". 
Il a ouvert pendant l'été 2012 et remplace le centre hospitalier du "moulin du Pé".

Cette "cité sanitaire" regroupe l'hôpital public, les cliniques mutualistes et la maternité.



Les deux navires porte hélicoptères de type "Mistral", commandés par la Russie et jamais livrés par la France!

Le Sébastopol et le Vladivostok (nom écrit en Russe sur les navires) attendent un potentiel acheteur dans le bassin de Penhoët... 

400 marins russes sont venus à St-Nazaire se former sur le premier navire, en vain, entre juin et décembre 2014.

Le 23 septembre 2015, les navires sont annoncés comme étant vendus à l' Egypte pour un montant de 950 millions d'euro. 


En juin 2016, le premier, rebaptisé Gamal Abdel Nasser, est livré à l'Egypte, le second, Anouar El Sadate en septembre 2016.



Le pont de Saint-Nazaire.

Long de 3 356m, il relie les deux rives de la Loire entre le Brivet aux portes de la ville, sur la commune de Montoir de Bretagne, et Mindin sur la commune de Saint-Brévin.

Mis en service le 18 octobre 1975, il était à ses débuts un pont à péage. 
Une longue protestation des habitants de la région a permis d'abaisser le prix élevé du ticket de 24 F (3,65€) une somme importante pour l'époque, à 10 F (1,52€).

Le pont devient gratuit le 1er octobre 1994. 

Au début des années 2010, un système expérimental de basculement des voies est mis en place. Plusieurs fois par jour, en fonction de la circulation,  le pont passe d'une à deux voies dans un sens et inversement dans l'autre sens.

Un marquage par plots lumineux rouges est mis en place au sol, des portiques et des caméras complètent le dispositf.

Au passage, le pont est équipé d'un "radar tronçon". Un système de reconnaissance des plaques d'immatriculation, enregistre la vitesse moyenne des automobilistes sur toute la traversée du pont... limité à 70 km/h.





Le square Athanase Laborde.

Havre de paix en prolongement du jardin des plantes, ce square offrait un espace de verdure dans le quartier de l'hôtel de ville.

Jusqu'aux années 80 il disposait de jeux pour enfants, de fleurs, de grilles... Puis fut laissé à l'abandon petit à petit dans les années 90-2000.

Vendu à un promoteur, il disparaît en 2007 pour laisser la place à des immeubles.



Créé le 2 mai 1979, le réseau de bus de la ville devient "LE" STRAN le "service des transports nazairiens" en remplacement du service de cars exploité par la société DROUIN.

Ci-dessus le nouveau réseau en mai 1979, avec 9 véhicules. Des arrêts sont équipés d'abribus, et les lignes sont identifiées par des lettres en couleur.

En 1984, LE STRAN devient LA STRAN (société de transports de l'agglomération Nazairienne), une société d'économie mixte dont le maire est le président.

Au début des années 2000, les lettres laissent place à des chiffres: les lignes A, B, C, D, E, F, G, K, P et PC deviennent les lignes 10, 20, 30, 40, 45, 50, 60, 70 et 71. 
La ligne de nuit "N" est supprimée et remplacée par les lignes 10, 20 et 40 prolongées jusqu'à 23h (au lieu de 1h).

Le 2 septembre 2012, le réseau est totalement modifié avec la création d'une ligne de "busway" nommée HélYce. 

Les autres lignes urbaines fusionnent et passent de 9 à 5 en changeant de dénomination.
Apparaissent alors les lignes U1, U2, U3, U4 et C1. En soirée, et le dimanche, Hélyce est complétée par la ligne S/D.

Le Duplex, aujourd'hui fermé, était dans les années 70 à 2000 une brasserie réputée, connue sous le nom de" Windsor".

A droite à 30m se trouvait également un grand bar, "le central". Puis plus haut en remontant vers l'hôtel de ville, le Balto, le Magellan et l'Hexagone.

Un projet de brasserie a vu le jour à sa place en 2016.


Le grand café, était comme son nom l'indique, un lieu prisé avant guerre. 

Situé sur l'un des 4 côtés de la place Carnot, dite "place des quatre horloges (et non pas "quat'z'horloges" comme certains ont renommé la place dans les années 90).

Ce carrefour était autrefois le cœur du centre-ville commerçant de Saint-Nazaire. au croisement de la rue de Nantes (Henri Gautier aujourd'hui) et rue de ville-ès-Martin (avenue Charles De Gaulle).

Aujourd'hui, le grand café est devenu une salle d'expo d'art contemporain.


Le rocher du "Gorille".

Comme son nom l'indique, il ressemble à un gorille de profil. Situé sur la plage de Saint-Marc près de la jetée.